Fév. 07
16

Par ce que chaque personne n'as pas la chance d'avoir dans sa ville un opéra pour y admirer le répertoire classique, The Metropolitan Opéra offre chaque samedi la possibilité d'aller au cinéma à des heures commodes (13h30 et 18h30) et d'y voir la représentation de son choix (6 représentations) dans les pays suivants : Usa, Canada, Royaume Uni, Danemark, Japon et Norvège.
Bien que la magie ne soit pas la même, les technologies d'aujourd'hui ont permis de reproduire à la note près la pièce d'opéra et de permettre à une tranche de la population n'ayant pas les moyens ou l'accès à ce genre musical de le découvrir confortablement installé, une fois réservé sur Internet ou au guichet. En outre, les personnes à mobilité réduite apprécieront ce genre de service. Son prix modique par rapport aux prix du siège ou de la loge est sans commun rapport, de 18 $ par adulte à 15 $ pour l'enfant. A quand en France, pays de la culture et des arts par essence ? Découvrir le site ici.
Via 750xx.
Fév. 07
16

Kinetica, premier musée londonien dédié au kinetic art, présente l'exposition annuelle Luminaries and Visionaries. "In art involving technology, a single theme can produce enormously different results. Every work is based on a dialogue between artist, idea, and experimental techniques whose properties cannot always be controlled, or even anticipated."


Dans le
cadre de cette exhibition, de nouvelle créations de Random
International sont visibles : the largest Temporary Light Printing
Machine to date, UV light-transfer Pixelshade, phosphorescent
Pendulum Installation...

Luminaries and Visionaries
Kinetica Museum at Spitalfields Market
January 18 to March 11, 2007
London, UK
Fév. 07
16

Un nouveau concept visible à Londres qui a remporté la CPB’s ‘Blue Sky’ competition. Un projet designé par Adam Ellis, design director de l'agence Coley Porter Bell : “I’d like to do music festivals, art galleries, weddings, anything with that sense of theatre”. Plus d'infos sur The Cool Hunter.

Fév. 07
15

Thomas Raschke révèle l’ossature des objets de notre quotidien dans le souci de restituer l’apparence et le volume initial des pièces. Dans leurs transparences et leurs dénuements, perceuse, frigidaire, aspirateur, et cuisine se détachent de leur prosaïsme pour revêtir une dimension aérienne.

Fév. 07
15

Une expostion quelque peu surréaliste de Rodney Latourelle : un labyrinthe avec une série de chambres éclairées aux néons jouant sur le diaphragme de la lumière. Une rose et blanche, la seconde verte et blanche ainsi que la troisième est d'argent et de blanc. Les illusions jouent avec les bandes de couleurs et les points de fuite, à vous donner un vertige saisissant. Point d'orgue explique l'illusoire architecte artiste, le système repose sur une triple émotion, pyshiologique, pyschologique et esthéthique.

Ouvrez vos chakras, c'est au, 115 Invalidenstrasse dans le quartier Berlin-Mitte, jusqu'au 17 Février.
Fév. 07
15

Ouvert en décembre 2005 un shop tout rose pour Paul Smith sur Melrose Avenue à Los Angeles. Une magnifique réalisation oscillant entre bauhaus et cubisme et la magnificience des lignes épurées donnant toute sa force au batiment. Le Corbusier n'aurait pas renié une telle architecture si ce n'est, peut être, la couleur.

Fév. 07
15

Le Groupe Germain, entreprise canadienne vient de présenter ALT, son nouveau concept d'hôtels qui allie design et prix modique. Christiane Germain, coprésidente et chef de la direction du Groupe Germain : "Il s'inscrit dans la foulée d'une tendance lourde en matière d'hébergement, particulièrement en Europe et en Asie, ce que les Anglais définissent comme le No-Frills-Chic, c'est-à-dire une équation design-atmosphère-déco-au-meilleur-prix-possible". Conçu par le bureau d'architectes Lemay-Michaud l'hôtel se distingue aussi par l'usage de méthodes écoénergétiques.
Via Etapes.
Fév. 07
15

Benjamin Sabatier, artiste français remarqué en 2002 au palais de Tokyo avec la performance-installation nommée « 35 heures de travail », expose de récentes productions à la galerie Jerome de Noirmont. Les travaux réalisés sont réunis sous le titre évocateur « 2 Pack Age ». Sa démarche plastique questionne l’expérience du consommateur face aux packaging, à l’emballage qui tout en dissimulant le produit rend ce dernier attrayant et « désirable ». L’artiste élabore une approche politique et sociale du phénomène de l’objet dans nos sociétés capitalistes. Objet qui est réduit au statut discursif d’une idée de lui-même en tant que l’enveloppe de la marchandise est support à l’échange marchand de l’idée, et non la chose elle même. Avec des matériaux pauvres et communs, tel le scotch, le carton, le plastique, le bois, il crée des succédanés d’objets devenus « hors d’usage », ou encore une œuvre en kit que l’acheteur/collectionneur devra construire. Autant de dispositifs qui tentent de redonner aux consommateurs une valeur humaine dans sa relation « au produit ».